Le bureau de Sandrine (suite)

Après avoir retirer le papier peint nous avions commencer à peindre… Mais l’hiver était là, et nous avons vu la réserve de fioul fondre quasi à vue d’oeil : 2000 litres en 2 mois et demi !!! Juste pour chauffer à 19° !!!

Nous avons donc décider d’opter pour le nucléaire… ouais… chauffage électrique si vous préférez. Nous avons choisi des radiateurs inertie fluide à thermostat électronique programmable (modéles Parisio de Delonghi). L’idéal aurait été des radiateurs à chaleur douce, mais le prix en est 2 fois plus élevé.

Tout ça pour dire que passer au chauffage électrique nécessite de renforcer l’isolation de la maison ! Donc pose de rails et de montants M48 pour poser le placo BA13 sur des plaques de polystirène extrudé. J’ai choisi cette solution par rapport aux simples panneaux doublés pour, un, redresser les murs qui ne sont pas tout à fait droits, et deux, c’était plus simple pour passer les gaines électriques supplémentaires.

Pour poser le BA13 je me suis offert une visseuse de plaquiste de chez Makita (chez Matériaux Le Breton à Pacy sur Eure : ils sont super sympas) : moins de 2 secondes par vis !

Pour les joints entre les plaques de plâtre j’ai utilisé de la bande autocollante en fibre de verre plus facile à manipuler et plus solide que la bande papier classique et de l’enduit de lissage de la marque TouPrêt qui comme son nom l’indique est tout prêt dans le pot.

Après une couche d’apprêt, on passe à la peinture, puis au revêtement de sol. Pour cette pièce nous avons choisi des lames PVC auto-adhésives Gerflor imitation parquet (en fait, les lames sont moulées sur de vraies planches de bois). C’est pas plus cher que du parquet flottant, c’est facile à poser, et ça sonne pas creux quand on marche dessus. Il faut juste que le sol soit parfaitement lisse… Et là, on a dû poncer toute la pièce pour éliminer les restes de colle de l’ancienne moquette ! 8 disques de grain 46 sur la ponceuse excentrique… heureusement que ma ponceuse se branche sur l’aspirateur !!!

La suite au prochain épisode…

Le chantier des WC

Une toute petite pièce qui n’a l’air de rien… On se dit, c’est pas grand, ça va aller vite… Que neni ! Il semblerait que la durée d’un chantier soit inversement proportionnelle au volume de la pièce.

Voici, en images, les différents épisodes.

Etat initial :

Dépose de la cuvette et du papier peint (y en avait même au plafond… Comme partout ailleurs dans la maison)

Les toilettes sont sur le pallier

Nous avons choisi un WC suspendu de chez Leroy Merlin (environ 300 Euros le kit complet). Pose relativement simple, seules les chevilles de fixation au sol n’étaient pas du tout adaptées à notre cas (chape béton sur briques creuses).

L’intérêt du WC suspendu, hormis le fait que c’est plus facile pour nettoyer en dessous, c’est de cacher le réservoir derrière la cloison… Ben alors… « Tu pourrais pas me faire une petite niche dans la cloison pour mettre des trucs de déco ? » me demande Sandrine… « Et pis… Ca serait bien si c’était éclairé…  » Ben voyons ! Si c’est ça, alors moi je fais un petit placard pour ranger le PQ…

Pose du placo (BA13) après découpes… Mauvaise surprise, le gabarit de coupe fourni avec le kit WC était faux ! Autre mauvaise surprise, impossible de rentrer une plaque de 60 x 250 dans la pièce, j’ai dû couper en 2 dans le sens de la hauteur

L’idée c’était de faire une déco « industrialo-loft »… Au sol : plaque d’aluminium dit « grain de riz », même chose pour les cornières autour de la niche et la porte du placard, au mur enduit « Loft » de Leroy Merlin et peinture « Metalic », luminaires (Bricorama) : spots encastrés orientables dans la niche, applique 2 spots au-dessus du lave-mains…

A l’étage, notre future chambre

Lorsque nous avions visité la maison, nous avions tout de suite eu l’idée de réagencer l’étage en faisant tomber quelques cloisons… Maintenant, en y regardant de plus près la première « cloison » que nous souhaitions démolir s’avère être un mur porteur !!!

L’idée était de joindre cette pièce (tout au bout de l’étage) :

avec celle-ci (juste avant) pour en faire notre chambre

Puisque le mur est porteur, une solution était de mettre un IPN puis de faire l’ouverture en-dessous… bof… moche… Un menuisier-charpentier de nos amis -publicité : Arnaldo Lourenco à Aigleville (27)- nous a proposé la solution : ajouter une « ferme » à la charpente puis tomber le mur après… Banco !…

Eh oui… Ca fait 4 mètres de long ces petits « bouts de bois » !

Donc, avant de démolir le mur, la « ferme » est fabriquée sur place :

Maintenant, on peut démolir !

Et voilà… Nous avons une belle grande chambre d’un peu plus de 20 m2… Bon, y a juste un peu de ménage à faire … En tout cas, merci Arnaldo ! Super boulot !

L’Escalier du Sous-sol

Comme tout le sous-sol (sauf le garage) l’escalier est recouvert de cette sal…… de résine rouge !

 

A certains endroit, ça part par plaques, à d’autres ça tient bien… mais alors très très bien… Donc faut enlever… mais comment ?!?

Après recherches, j’ai trouvé ça :

C’est une spatule électrique de chez BOSCH (réf. PSE 180E) : beaucoup moins d’efforts et plus précis qu’à la main. Avantage : la spatule est interchangeable : il en existe en rigide, souple, il y a même une gouge…

 

Le Bureau de Sandrine

Sandrine a bien travaillé… Dépose des papiers peints aux murs… et au plafond, dépose des plinthes, rebouchage des trous et autres fissures…

Avant :

Pendant :

La Buanderie

Peinture des murs, pose de dalles PVC adhésives, sur le mur de droite pose d’une tablette escamotable.

Cette pièce étant destinée à recevoir machine à laver, frigo et congélateur, un circuit électrique dédié a été ajouté depuis le tableau général placé dans le garage.

 Avant :

Après :

Le Garage

Encore une fois, la station de peinture a été d’une grande utilité…

Avant :

Après :

La cave

Voilà… le raffraichissement de la cave touche à sa fin…

Avant :

Après :

C’est tout de suite mieux avec un petit coup de blanc (sur les murs bien sûr !).

Au sol, ce sont des dalles PVC auto-adhésive de Leroy Merlin. Faciles à poser, faciles à découper au cuter. Pour les jointures entre les dalles, pensez à la roulette à maroufler qui sert normalement pour le papier peint, c’est super efficace.

Reste l’aménagement avec quelques étagères…

 

Rafraichissement du sous-sol (suite)

La semaine dernière, une primaire d’accroche et une couche de ragréage ont été passées dans la cave. Génial le ragréage autolissant… Il a juste fallut charger 100 kg de ce produit (en 4 sacs) dans le coffre de ma pauvre petite 107 !

Ce week end, fin de la peinture dans la buanderie, pendant que Sandrine lessivait les murs au rez-de-chaussée… La pauvre, c’est éreintant

Hier soir, primaire d’accrochage sur le sol de la buanderie, ragréage ce soir… Bientôt les photos…

Le mystère de Fontaine…

Comme tout château qui se respecte, notre « château » à nous recèle un mystérieux objet…

Revenons un peu en arrière, le sous-sol est très encombré, sombre et gris (ça y est, vous y êtes ?) et il y a plein de piquets de bois et de tuiles (l’ancienne propriétaire était du genre « okaoujegarde » !). Donc.. un soir en regardant d’un peu plus près ce fameux tas de bois j’aperçois un gros bloc noir, intriguée je m’approche et oh surprise ! c’est un coffre-fort ! Bien entendu… après ce grand moment d’émotion (si, si…), nous avons essayé de l’ouvrir et scrogneugneu ! Il est verrouillé ! Bon… ce n’est pas grave, cela occupera nos longues soirées d’hiver en …2012 ! Et pendant ce temps, il nous fera rêver…et réfléchir mon Doudou Perceur de Coffre quant à la meilleure méthode pour ouvrir ce p… de coffre !

PS : Vous m’avez reconnue, j’espère , moi je suis la Sandrine dans Sandrine et Serge (paske quand même, faut dire que les autres articles ne sont pas du même style !)